J’ai décidé que ma vie allait changer.
Comme ça, délibérément, pas parce que la vie m’a rattrapée, m’a bousculée ou que mon monde s’est effondré, non. Simplement parce qu’un jour, j’ai décidé de prendre les rênes et de créer délibérément quelque chose de nouveau.
Depuis plusieurs années, j’ai découvert le coaching. D’abord en écoutant des podcasts (et j’en écoute toujours
beaucoup) ensuite en m’inscrivant à un programme de coaching et enfin en me formant comme coach. Le coaching m’est apparu comme un outil extraordinairement puissant. Il permet de rendre à l’individu son propre pouvoir en lui permettant de (re)devenir responsable de sa vie. Il permet de décider de qui on veut être vraiment, et ce, dans n'importe quelles circonstances.
Mais ce n’est pas un processus magique (encore que…), c’est un processus qui fait appel à ce qu’il y a de plus puissant en nous, c’est-à-dire à notre libre arbitre. Nous pouvons décider de qui nous voulons devenir. Vraiment. Indépendamment des injonctions ou de tous les formatages reçus tout au long de nos vies (sociétaux, familiaux, religieux, culturels, etc.), et des tuiles qui nous tombent sur le coin du bec.
Et il y en a des tuiles, toujours. Avec ou sans outil de coaching, il faut les avaler, les digérer et voir ce que l’on peut en faire. Pour ma part, j’ai décidé d’en faire quelque chose qui me serve, pas quelque chose qui me diminue ou qui m’annihile.
Les outils que j’ai acquis par le coaching m’aident et m’ont déjà aidée. Ils sont puissants et s’appuient tous sur ce qu’il y a de plus incroyable en nous : le cerveau. Cet organe, un peu flageolant lorsqu’il est sorti de sa boite crânienne, composé de différents lobes, est tout à la fois notre meilleur ami et notre pire ennemi. Il a pour fonction principal de nous protéger contre les menaces réelles ou imaginaires. Le problème, c’est qu’il ne fait pas la différence entre les deux états. C’est pour cela que, par moment, il se retourne contre nous.
Le coaching m’a aidé à mettre mon cerveau « dans mon camp ». A faire en sorte qu’il me serve plutôt qu’il ne me desserve. Grâce aux outils que j’ai acquis, je vis une vie plus intentionnelle et plus authentique. Tous les jours, je suis un peu plus qui je veux vraiment être.
Le coaching n’est pas une « happy therapy ». Ceux qui le prétendent se fourvoient. Mais en choisissant qui nous voulons devenir et en y travaillant tous les jours, nous devenons plus maitres de nous-mêmes et plus apaisés devant les circonstances qui par moment se dressent contre nous.
C’est pour cela que j’ai décidé que ma vie allait changer et de devenir coach. Et que j’ai décidé de partager avec d’autres l'extraordinaire découverte que j’ai faite.
Comments